Ingmar Bergman. “Smultronstället”. 1957
“… Tu sais, pour moi, rien n'est fondamental
Tout est factice, rien n'est fatal
Et puis je n'veux rien savoir, que dalle
Je n'suis pas d'la brigade fluviale, non
Dis-moi si tu t'souviens encore
Du petit matin sur le port
De cette fille-mère qui parlait fort
Avant que tu me quittes encore
Ce n'était qu'un vendredi 12
Et pourtant, tu as filé en douce
À mille lieux du triangle des Bermudes
Juste quelque part, hémisphère sud…”
Your Dystopic Creation Doesn't Fear You. Una miseria humana, en espacios miserables que no evidencia final alguno, que trasciende cualquiera de las perentorias dolencias físicas, porque la mezquindad del alma elude las coordenadas del tiempo y del espacio. Slowly and inevitable decadence of being, the shadow of the equable black thunder.
“… Tu sais, pour moi, rien n'est fondamental
Tout est factice, rien n'est fatal
Et puis je n'veux rien savoir, que dalle
Je n'suis pas d'la brigade fluviale, non
Dis-moi si tu t'souviens encore
Du petit matin sur le port
De cette fille-mère qui parlait fort
Avant que tu me quittes encore
Ce n'était qu'un vendredi 12
Et pourtant, tu as filé en douce
À mille lieux du triangle des Bermudes
Juste quelque part, hémisphère sud…”
Your Dystopic Creation Doesn't Fear You. Una miseria humana, en espacios miserables que no evidencia final alguno, que trasciende cualquiera de las perentorias dolencias físicas, porque la mezquindad del alma elude las coordenadas del tiempo y del espacio. Slowly and inevitable decadence of being, the shadow of the equable black thunder.
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